Julien Pierre

Sculpteur qui naquit à Saint-Paulien

Sculpteur qui naquit à Saint-Paulien, près du Puy (Haute-Loire), le 20 juin 1731, fils de Vital Julien, maître menuisier, et de Marie Pagnac, sa femme. A l'âge de quatorze ans, il s'amusait à modeler de petites figurines, tout en gardant les troupeaux, lorsqu'un jésuite, son oncle, voyant ses dispositions, le mit d'abord en apprentissage au Puy chez un maître sculpteur, Gabriel Samuel, puis le conduisit à Lyon, où il le confia à Antoine-Michel Perrache, professeur à l'Ecole de dessin qui venait d'être fondée dans la ville en 1757. Julien, après avoir obtenu une première médaille à, cette école, fut amené à Paris par Perruche qui le fit entrer dans l'atelier de Guillaume II Goustou. Il remporta le premier prix de sculpture en 1765, passa trois ans à l'École royale des élèves protégés, et reçut le brevet de pensionnaire de l'Académie de France à Rome le 6 juin 1768. Arrivé dans cette ville le 1er décembre suivant, il y resta jusqu'au commencement de 1773, année où il revint en France après avoir terminé son temps de pensionnaire à la satisfaction de Natoire, directeur de l'Académie, qui écrivit à son sujet au marquis de Marigny, le 24 février 1773 :
« Le sr Jullien, sculpteur, après avoir passé quelque tems a Rome depuis qu'il a fini la pension, part ces jours-cy pour s'en retourner en France. Je viens de luy donner la gratification accoutumée. Je n'ay que du bien à vous dire de ce jeune artiste, lequel a fait de très bonne études ; quelques ouvrages qu'il a fait pour M. Haucart, jadis président, luy feront honneur ; pour sa conduite, il n'y a eu rien à luy reprocher. »[1]

A son retour à Paris, il aida son maître Guillaume Goustou dans l'exécution du mausolée du Dauphin, érigé dans la cathédrale de Sens.
En 1776, il se présenta à l'Académie royale de peinture et de sculpture et ne fut pas admis. Humilié de cet échec, il voulut quitter Paris pour aller occuper à Rochefort une place de sculpteur de la marine, mais il fut détourné de ce projet par ses amis qui l'encouragèrent à se représenter à l'Académie, où il fut enfin agréé le 25 avril 1778. Académicien le 27 mars 1779, il devint adjoint à professeur le 29 octobre 1781 et professeur le 30 janvier 1790. Plus tard, le 12 décembre 1795, il fut nommé membre de l'Institut. Julien exposa aux salons du Louvre de 1779 à 1804. Il travailla à l'église Sainte-Geneviève et au pavillon de Flore, exécuta pour le roi les statues de La Fontaine et du Poussin, et fut chargé par la Direction des bâtiments de décorer la laiterie du château de Rambouillet, pour laquelle il sculpta la statue de la Jeune fille à la chèvre, placée actuellement au Musée du Louvre. Cette décoration lui fut payée 40.000 livres. Foucou et Dejoux y collaborèrent.

Il épousa, le 18 septembre 1802, Jeanne-Etiennette Etevenet, veuve Dutrou. Il mourut à Paris, au palais de l'Institut, le 17 décembre 1804, après avoir été nommé, la même année, membre de la Légion d'honneur. La vente de son atelier eut lieu le 19 mars 1805. Par testament en date du 26 octobre 1804, il avait confié à son ami Dejoux le soin de terminer ses œuvres laissées inachevées. Ce dernier a sculpté le portrait de l'artiste sur une stèle funéraire qui est déposée aujourd'hui au Musée du Puy. Un buste de Julien, fait en 1840 par le sculpteur Experton, a été inauguré à Saint-Paulien en 1857. La bibliothèque de Besançon possède sa caricature dessinée par Jean-Baptiste Stouf. Un portrait de l'artiste, représenté dans son atelier en veste de travail, a été placé au Musée de Versailles en 1906.

[1]. Archives nationales, O1 1941.

Oeuvres

- Orphée dans les nuages jouant du violon. Statuette en terre cuite exécutée par l'artiste alors qu'il était encore en apprentissage au Puy. Cette œuvre appartenait au sculpteur Badiou de la Tronchère, mort en 1888.
- Albinus faisant descendre de son char sa famille pour y faire monter les vestales fuyant devant les Gaulois. Bas-relief. Premier grand prix de sculpture de 1765. Ce bas-relief, selon Joachim Le Breton, fut placé dans la maison de Mlle Guimard, à Pantin; il s'y trouvait encore en 1805.
- Albinus. Buste en plaire. Haut. 0,16. Signé : Julien fcit. Musée du Puy.
Ce buste, qui est sans doute l'exécution grandeur nature du personnage représenté dans le bas-relief précédent, a été donné au Musée en 1858 par M. Experlon, sculpteur. Julien avait chargé un de ses élèves, Lestrade, de le sculpter en marbre. Ce dernier mourut, en 1825, sans avoir achevé le travail qui ne fut terminé que plus tard.
- Cléopâlre. Petite copie en marbre d'après l'antique, exécutée à Rome. Salon de la Paix, au château de Versailles. Provient du Grand Trianon, où elle se trouvait à la fin de la Restauration.
- Le Gladiateur et l'Apollon du Belvédère. Copies en marbre d'après l'antique, sculptées à Rome pour le président Hocquard. A la Révolution, ces copies furent placées au Musée de Versailles ; elles étaient à Saint-Cloud en1869.
Collaboration à la sculpture du mausolée du Dauphin, par Guillaume Coustou, placé dans la cathédrale de Sens (années 1773-1776).
- Ganymède versant le nectar à l'oiseau de Jupiter. Groupe en marbre. Musée du Louvre (n° 748). L'artiste présenta ce morceau en 1776 pour être agréé à l'Académie, mais il ne fut pas accepté. Il l'exposa plus tard au salon de 1785; l'oeuvre appartenait alors au baron de Juys, procureur au bureau des Finances de Lyon, un des prolecteurs de Julien. En l'an X, ce groupe fit partie du Musée spécial de l'école française, à Versailles.
- Sainte Geneviève guérissant les yeux de sa mère. Bas-relief en pierre placé jadis sur le côté droit de la façade de l'église Sainte-Geneviève, aujourd'hui le Panthéon. C'est en 1776 que l'artiste s'engagea à exécuter cet ouvrage, comme le prouve le document suivant tiré des Archives nationales [1]:
« Je soussigné Pierre Julien, sculpteur à Paris, demeurant au collège des trésoriers, place Sorbonne, promet et m'oblige envers monsieur Soufflot, architecte du Roy el contrôleur de ses Bâtiments, d'exécuter pour la nouvelle église de Sainte-Geneviève, un bas-relief en pierre de Saint-Leu de dix pieds de haut sur autant de large, représentant sainte Geneviève recouvrant la vue à sa mère.
« M'obligeant aussi de le terminer avec le plus grand soin et suivant la proportion donnée par mondit sieur Soufflot, moyennant la somme de trois mille livres y compris le modèle.
« La présente soumission faite à Paris le 12 mars 1776.
« Julien. »

Ce bas-relief fut détruit en 1792 et remplacé par un bas-relief de Fortin, qui a disparu à son tour.
- Une figure de l’Ancien Testament. Autrefois à l'intérieur de l'église Sainte- Geneviève.
- Un docteur de l'église grecque. Autrefois à l'intérieur delà même église.
- Un gladiateur mourant. Statuette en marbre. Salon de 1779. Musée du
Louvre (n° 719). Morceau de réception à l'Académie, le 27 mars 1779. Le modèle en plâtre est mentionné dans l'inventaire dressé après le décès de l'artiste. Un exemplaire en terre cuite de cette statuette a passé à la vente
Paillet, à Paris, le 2 juin 1814. Un plâtre ligure au Musée de Chalon-sur-Saône.
- Des nymphes coupant les ailes de l’Amour endormi. Bas-relief en plâtre. Salon de 1779.). Exposé de nouveau au salon de 1783. Ce bas-relief se trouvait dans l'atelier de l'artiste au moment de sa mort.
- Tête de femme coiffée d'un voile et couronnée de fleurs, comme les jeunes filles dotées par le l'ape el le Sacré Collège, à l’église de la Minerve, à Rome. Salon de 1779. Un buste en marbre, par Julien, représentant le même sujet, a été vendu 636 francs à la vente de Langeac, à Paris, le 11 juillet 1803.
- Erigone. Figure en marbre de 2 pieds de proportion. Salon de 1781. Appartenait à M. de Duplas, président à mortier du Parlement de Paris, en Béarn.
- Tête de Vestale. Marbre de grandeur naturelle. Salon de 1781. Celle tête a été adjugée 2.000 livres à la vente Le Boeuf, le 8 avril 1783, puis 2.351 livres à la vente de Vaudreuil, le 20 novembre 1787.
- L'Atalante. Copie en marbre exécutée, sans doute, pour le baron de Juys (année 1781). Signée : Julien sculpteur. Celle copie est placée actuellement au château de Saint-Bonnet-les-Oules (Loire).
- Un berger tuant un serpent. Statue en plâtre. Salon de 1783.
- Un jeune Camille. Tête en marbre. Salon de 1783.
- Esquisse en terre d'un monument qui devait être érigé aux Tuileries, en commémoration de la première expérience aérostatique (année 1784). Ce projet n'eut pas de suite. L'esquisse figurait dans l'inventaire dressé après la mort de l'artiste.
- Bas-relief décorant un obélisque élevé jadis dans les jardins du château de Betz. (Oise) appartenant alors à la princesse de Monaco (année 1781). Cet obélisque, qui était orné également d'un autre bas-relief, par Dejoux, a été démoli.
- La Fontaine. Statue en marbre commandée par le roi. Signée : Julien Ft.
1785. Salon de 1785. Estimée 10.000 livres. Celte statue, provenant de la salle des Antiques, au Louvre, est placée, depuis la Révolution, dans le grand vestibule de la salle des séances du palais de l'Institut. Le modèle en plâtre, qui avait été exposé en 1783, fut acheté 1.000 francs à Julien, en 1802, par l'administration du Musée des Monuments français. A la suppression de ce musée, en 1815, il resta dans les bâtiments de l'Ecole des beaux-arts, puis il fut donné par le Gouvernement, en 1858, au Musée du Puy, qui possède également une réduction en biscuit de Sèvres de cette statue. La maquette originale en terre cuite a été offerte au Musée de Château-Thierry, par M. Maciet fils, en 1877.
- L'Amour silencieux. Esquisse en terre cuite. Salon de 1785.
- La nymphe Amalthée ou Jeune fille à la chèvre. Statue en marbre (années 1780-1787). Musée du Louvre (n° 750). Celle statue provient de la laiterie du château de Rambouillet, où elle avait été placée en 1787. Exposée au salon de 1791, puis rapportée à Rambouillet, elle fut transportée, en avril 1797, au Musée spécial de l'école française, à Versailles. En 1803, elle fut déposée dans le palais du Sénat conservateur. Le modèle en plâtre, qui a figuré » dans l'inventaire de l'atelier de l'artiste, a disparu. Le musée du Puy conserve un moulage de cette statue, qui lui a été donné par l'administration du Louvre eu 1851. Une copie en marbre fut faite par Julien pour le  château de Juys eu thermidor an XII ; on ignore ce qu'elle est devenue. Une copie en terre cuite se trouve au Musée d'Angers.
- L'éducation de Jupiter par les Corybantes. — Apollon (fardant les troupeaux d'Admète tandis que Mercure les enlève. Deux bas-reliefs en marbre (années 1786-1787). Long. 3,60 m. Haut. 0, 90 m. Autrefois à l'intérieur de la laiterie du château de Rambouillet. Ces bas-reliefs ont disparu.
Déposés au Musée de Versailles en avril 1797, ils furent transportés ensuite à la Malmaison ; ils auraient été vendus à des Anglais après la mort de l'impératrice Joséphine.
- Une mère allaitant son enfant. Grand médaillon en marbre. Autrefois à l'intérieur de la laiterie du château de Rambouillet.
- Travaux de métairie. Quatre médaillons en marbre. Diam. 0 m 66. Autrefois à l'intérieur de la même laiterie. Ces médaillons et le précédent, portés à Versailles en 1800, furent placés à la Malmaison comme les bas-reliefs cités plus haut. Ils ont disparu également.
- Une vache allaitant son veau. Médaillon en marbre posé encore actuellement dans le tympan du fronton de la même laiterie.
- Ouvrages de sculpture exécutés en 1788 au pavillon de Flore, aux Tuileries, en collaboration de Dejoux. Le 30 juin de la même année, les deux artistes reçurent 3.000 livres en acompte sur ces ouvrages qui n'existent plus aujourd'hui, le pavillon de Flore ayant été reconstruit sous Napoléon III.
- Léda. Statue en marbre de 3 pieds de proportion. Salon de 1789. Cette œuvre appartenait au baron de Juys, à Lyon. Le modèle en plâtre ligure dans l'inventaire de l'atelier de l'artiste.
- L'Etude. Statuette en plâtre de 2 pieds et demi de proportion. Salon de 1789.
- Nicolas Poussin. Statue en marbre commandée par le roi. Estimée 10.000 livres. Grand vestibule de la salle des séances, au palais de l'Institut. Le modèle en plâtre fut exposé en 1789 et le marbre en 1804. La maquette en terre cuite a été donnée en 1903 au Musée du Louvre (n° 1043) par le poète Albert Moral, mort récemment.
- La matrone d’Ephèse. Maquette en terre. Musée du Puy.
- La nymphe Echo poursuivant Narcisse. Maquette en terre. Musée du Puy.
- Hygie, déesse de la santé. Statuette en marbre exécutée par Julien pour son médecin, en témoignage de sa reconnaissance. Le Musée du Puy possède deux moulages de celle ligure, données par la famille de l'artiste.
- Pendule en marbre. Salon de 1791.
- La tendresse maternelle. Figure grandeur nature. Salon de 1795.
- Narcisse se mirant dans l'eau. Esquisse. Salon de 1795.
- Echo rebutée par Narcisse, se retirant honteuse et confuse, mais lentement, dans l'espoir que Narcisse sera touché de son amour. Esquisse. Salon de 1795.
- L'Amour adolescent soulevant son bandeau pour bien viser celui contre qui il décoche son trait. Esquisse. Salon de 1795.
- La Charité représentée par une femme qui donne à téter et à boire à des enfants. Esquisse. Salon de 1795.
- L'Étude assise et appuyée sur un tombeau égyptien. Figure en marbre de 0,60 m sur 0,40 m. Salon de 1799. Ce marbre, formant pendule, est signé : P. Julien F.. Il se trouvait dans l'atelier de l'artiste au moment de sa mort. Il appartient aujourd'hui à M. Cramait, à Rueil. Le plâtre est chez M. Albert Bertrand, au Puy.
- Le Temps, portant un globe contenant une pendule, marchant, sur des ruines, el accompagné de son génie qui lui montre un sablier. Groupe. Haut. 1,30 m. Larg. 0,40 m. Salon de 1799.
- Démosthène. Buste en marbre destiné à la Galerie des Consuls. Signé : par Julien de la Haute-Loire, an X. Salon de 1802. Ce buste se trouve aujourd'hui dans la galerie de Diane, au palais de Fontainebleau.
- Camille. Buste en plâtre. Ce buste, qui figure dans l'inventaire dressé après la mort de l'artiste, a été perdu.
- Nicolas Poussin. Buste en marbre terminé par Biaise, avec l'agrément de Julien.
- Napoléon Ier. Buste en terre cuite t'ait d'après nature. Ce buste, envoyé au Puy, orna la salle des délibérations du conseil municipal de 1805 à 1814.
Il a disparu à la Restauration.
- Projet de tombeau pour le maréchal Jourda de Vaux. Ce modèle en plâtre, qui ne fut pas exécuté en marbre, contrairement au désir exprimé par le maréchal dans son testament daté du 20 juillet 1788, se trouvait dans l'atelier de Julien après son décès.
- La Bienfaisance. Statue en plâtre. Celle statue, qui était placée au Musée des Monuments français, fut remise à Mme Goinard, à qui elle appartenait, le 31 mars 1817. Peut-être avait-elle été exécutée d'après l'esquisse de la Charité, que j'ai citée plus haut.
- Jeune femme tenant deux colombes. Statue décorative en terre cuite. Collection Jacques Doucet, à Paris. Celte œuvre, provenant, dit-on, du parc de Saint-Maur, est attribuée à Julien.

[1]. Archives nationales, O1 1698.

Références

Archives nationales, O1 1698; O1 19463, 143 ; O1 1919, 49 ; O1 19195, 276 ; O1 1922 A4; O1 2268,368. — Thiéry, Guide des amateurs el des étrangers à Paris, 1787,
t. I, p. 340; t. II, p. 546. — Joachim Le Breton, Notice sur la vie et les ouvrages de Pierre Julien, 1805. — Mandet, Histoire du Velay, 1840, t. VIII. — Archives de l'art français, doc, t. V, 1857-1858, p. 300. — Eud. Soulié, Notice du Musée de Versailles, t. II, 1860, p. 167.— Revue universelle des arts, t. XVII, 1863, p. 175.
— Tablettes historiques du Velay, 1871, p. 208. — Vibert, Catalogue du Musée du Puy, 1872, p. 128-130. — J. Guiffrey, Réimpression des livrets des salons du XVIII° siècle, 1779, p. 45, 46; 1781, p. 47; 1783, p. 50 ; 1785, p. 47-48; 1789, p. 45-46 ; 1791, p. 32, 54, 61 ; 1795, p. 67, 68; 1799, p. 71. — Livret du salon de .A 804, p. 97. —Nouvelles archives de l'art français, 1872, p. 405; 1876, p. 401-405; 1879, p. 372.— Annales de la soc. historique et archéologique de Château-Thierry,
1877, p. 10-18. — Richesses d'art de la France, Paris, mon. civ., t. I, 1879, p. 8; l. Il, 1889, p. 332. Province, mon. civ., I. I, 1878, p. 34; t. II, 1887, p. 222 ; t. III, 1885, p. 85, 86, 192, 193, 339. — Archives du Musée des Monuments français, t. I, 1883, p. 91, 253, 282, 299 ; t. III, 1897, p. 65, 68, 69, 188, 191, 199, 202, 213, 291. — De Montaiglon, Procès-verbaux de l’Académie royale, L. VIII, 1888, p. 332, 371 ; t. IX, 1889, p. 84; L. X, 1892, p. 43. — L. Courajod, Histoire du département de la sculpture moderne au Musée du Louvre, 1894, p. 91, 234, 238. — Idem, L'École royale des élèves protégés, 120, 130, 180. — A. Dalligny, Le Journal des arts, 24 septembre, 1er octobre et 3 décembre 1808. — De Montaiglon et ,J. Guiffrey, Correspondance des directeurs de l'Acad. de France à Rome, t. XII, 1902, p. 199, 218, 416. — André Pascal, Gazette des beaux-arts, 1903, t. I, p. 325-342, 407-420. — Idem, Pierre Julien, sculpteur, sa vie el son œuvre, 1904. — L. Gonse, Les Chefs-d'œuvre des Musées de France, 1904, p. 140. — Chronique des arts el de la Curiosité,1905, p. 200,

Dictionnaire des sculpteurs de l’école française au dix-huitième siècle
Stanislas Lami. Honoré Champion, Librairie Editeur, 1911


 

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