Al-Baba ou les quarante voleurs

Opéra en quatre actes précédé d’un prologue, paroles de Scribe et Mélesville, musique de Cherubini, représenté à l’Académie royale de Musique, le 22 juillet 1833. Le livret n’était que l’arrangement d’une vieille pièce écrite en 1793, par Duveyrier-Mmélesville père, sous le titre de Koukourgi, et non représentée. La partition n’eut qu’un succès d’estime. Elle était l’œuvre d’un vieillard de soixante-treize ans. M. Fétis, qui l’a entendue, assure qu’elle renferme néanmoins de grandes beautés, et que plusieurs morceaux sont encore dignes du grand compositeur. Chérubini avait introduit dans cet opéra la marche de Faniska, ouvrage joué à Vienne en 1805, et la belle bacchanale de son ballet d’Achille à Seyros. Un vers du poème excita un scandale parmi les puristes. Voici ce vers : Au moka surtout je songeais.
C’était un prétexte de plaisanterie plutôt que d’indignation littéraire. Nourrit, Levasseur ; Mmes Falcon et Damoreau créèrent les rôles principaux.


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