A ma sœur, Milan 17 février 1770

P.-S. – Milan 17 février 1770

Et me voici, moi aussi, tout à vous ! Toi, Marianette, je me réjouis fort que tu sois si effroyablement… amusée. Dis à Ursule, la bonne d’enfants, que je crois bien, toujours, lui avoir rendu tous les lieder ; mais qu’en tout cas, si absorbé par mes importantes et hautes pensées vers l’Italie, je les ai emportés, par mégarde, je ne manquerais pas, quand je les trouverai, de les insérer dans ma lettre. Addio, enfants, portez-vous bien. Je baise milles fois les mains de maman, et à toi j’envoie mille bécots ou gros baiser sur ta merveilleuse figure de cheval. Per fare il fine, je suis ton …

Wolgang

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