Saint-Èvre (Gillot)

Peintre d’histoire, de genre et de portraits, ancien officier d’artillerie, Paris, 23 rue Servandoni. Il a exposéau M. R., en 1822, Prospero, duc de Milan, exposé avec son enfant aux fureurs de la mer, dans une vieille barque sans agrès ; Miranda fait une partie d’échec avec Ferdinand, qu’elle accuse, en plaisantant, de tricher. En 1814, Job et ses amis (Gal. du Lux.) ; Une vieille villageoise dans un cimetière ; Marie Stuart, échappée du château de Lochleven ; Deux matelots naufragés, au pied d’une falaise calcaire. En 1827, Charles IX et Marie Touchet ; Une dame effeuille une marguerite, costumes sous Louis XII ; Mousquetaires préparant leurs armes ; Soldat endormi, surpris par un brigand. Il a aussi exposé en 1826, à la gal. Lebrun, Don Juan et Haïdée ; Deux musiciens ; Isabeau de Bavière. M. Saint-Èvre a obtenu une médaille de 2° classe en 1824 et une de 1re en 1827.
Dictionnaire des artistes de l’école française au XIX°siècle de Charles Gabet, 1834


 

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